GaganDiPica Vernissage - Dossier de Presse

17 March 2015

-Créations initiales

D’inspiration classique, artistique et antique, ces bijoux mixent avec malice les civilisations du monde entier.

Ils sont nés de la rencontre de deux passionnés :

Francine Grünwald, galeriste et antiquaire parisienne et Adam J. Yiagidis, joaillier et gemmologue cosmopolite. Gagandipica puise son originalité dans leur parcours personnel. Francine Grünwald, créatrice de la galerie Forêt Verte, expose des peintures, des sculptures, des photos mais aussi des objets Art Déco, époque dont elle est spécialiste. A l’origine de l’aventure Gagandipica, il y a son amour des bijoux d’artistes, de Calder à Man Ray, qu’elle a exposés à la galerie Couvrat Desvergnes ainsi que des bijoux Art Déco des années 30 (Després, Fouquet, Cartier, Van Cleef...). Autre référence esthétique, sa collection personnelle d’ornements et pierres glanés notamment en Inde, en Egypte, au Ladakh, au Maroc... Elle crée pour elle-même des charms, et quand ils opèrent sur une créatrice de mode, c’est le déclic ultime.

Adam J. Yiagidis, gemmologue, diamantaire et designer né à Athènes, vit entre Londres et Paris. Il est membre du Gem-A (Gemological Association of Great Britain). Avec Gagandipica, il renouvelle l’art antique de la gravure et de la taille sur cristaux, dans lequel il excelle.

La collection pour femme du duo fait dialoguer sans frontières les motifs des amulettes égyptiennes, scythes et grecques, des charms ou de la mythologie chinoise, inca, maya, aztèque... Une invitation aux voyages dans le temps et dans l’espace. Associant les pierres semi-précieuses et le bronze doré à l’or fin 24 carats, ces merveilles sont vouées à accompagner et à raconter les étapes de la vie de chacun.

La ligne pour homme décline, sur commande, bracelets, boucles d’oreilles et boutons de manchette. Les cristaux sont choisis en priorité chez les soufis d’Inde.

Le duo a déniché ailleurs des turquoises véritables, de plus en plus rares. Le métal est travaillé en précision jusqu’aux fermoirs, conçus comme autant de sculptures miniatures. Porter ces créations, c’est s’approprier une lumière de vie ancestrale et la projeter au cœur du XXIe siècle. ”Gagandipica” signifie d’ailleurs ”lumière de vie” dans l’une des 860 langues de l’Inde. Laquelle ? Mystère... un ingrédient qui fait aussi partie de la magie des bijoux.

Le mobilier signé du sculpteur Laurent Chauvat et les supports en marbre blanc de Thassos forment le sobre écrin de cette première exposition.

09 September 2021
Suite
Oeil de l'âme
14 September 2011

'Crystal in Crystal' numéro de brevet 202101000203

Suite
ΕΣΠΑ 2014-2020